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Tu es ici sur un blog parlant de fics yaoi, c'est-à-dire de relations entre deux hommes (ou plus XD). Si tu es homophobe, mineur (disons plutôt une âme sensible) ou que ça te gêne, clique sur la croix [x] rouge en haut de ton écran.

Sinon, bonne visite XD


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Pédopsychiatre

Mercredi 2 avril 3 02 /04 /Avr 14:01

Comme promis, la suite de Pédopsychiatre avec un lemon... XD

 

Trois coups, nets et précis.

 

_ « Entre. » fit simplement Eiji.

 

Enzo ouvrit la porte, timidement.

 

_ « Tu... Tu es sûr qu'il n'y a personne ? » demanda-t-il, pas du tout rassuré, malgré ce que lui avait dit Eiji quelques heures plus tôt.

 

_ « Bien sûr que j'en suis sûr. Arrête donc de te prendre la tête avec ça. » fit Eiji, qui commençait vraiment à avoir marre du comportement de son aîné.

 

Enzo referma la lourde porte, mais ne bougea pas de l'entrée pour autant.

 

_ « Tu compte prendre racine ici, alors qu'un bon jacuzzi t'attend ? » demanda Eiji, un sourire pervers aux lèvres.

 

_ « Je... Non. » fit le moniteur en s'avançant un peu plus.

 

La pièce était sombre et seuls quelques bougies et un rayon de lune illuminaient la pièce. Eiji était là, assit confortablement dans le jacuzzi. Il s'amusait à regarder Enzo, qui avait vraiment l'air apeuré.

 

_ « Viens... » dit Eiji d'une voix grave et sensuelle.

 

Le moniteur ne pu s'empêcher de frissonner à l'entente de cette voix et il avança jusqu'à se retrouver en face du jacuzzi de son cadet.

 

_ « Déshabille toi... Entièrement. »

 

Enzo ne pu qu'obéir à cette voix chaude. Eiji était une sorte de fruit défendu et l'éducateur ne pouvait s'empêcher de le désirer. Il savait que c'était mal, mais comment résister ? Il enleva donc ses habits petit à petit, plus par timidité que pour faire désirer le plus jeune.

 

Une fois complètement nu, il pénétra dans le jacuzzi. Eiji vient immédiatement auprès de lui, se collant à son torse, posant ses mains sur ses hanches.

 

_ « Tu as peur qu'on nous découvre Enzo ? »

 

L'adulte répondit positivement de la tête.

 

_ « Mais n'est-ce pas ce qui rend la chose plus... excitante ? » demanda Eiji en se passant la langue sur la lèvre inférieure, sensuellement.

 

Enzo eu beaucoup de mal à déglutir. Cette voix...

 

_ « Et si on reprenait où on s'était arrêter ? »

 

_ « Je... Tu veux me sucer dans un jacuzzi ? » demanda Enzo, visiblement étonné.

 

_ « Bah oui, pourquoi pas ? Lève-toi. »

 

_ « Quoi ? »

 

_ « Lève-toi ! »

 

Enzo s'exécuta et, immédiatement, Eiji vint se placer devant lui. Il s'arrêta devant le sexe de son aîné et souffla doucement dessus.

 

_ « Je suis déçut... »

 

_ « Pourquoi ? »

 

_ « Tu bandes pas. »

 

_ « Je suis hum... stressé. » fit Enzo, embarrassé.

 

_ « Et ben détends-toi alors. » sourit Eiji, « C'est parce que je vais te sucer que tu es stressé ? T'as peur de voir à quel point tu es incompétent face à moi ? »

 

_ « Idiot... » répondit simplement Enzo en donnant une petite tape sur la tête de Eiji.

 

_ « Si je ferme la porte, ça te détendra ? »

 

Enzo acquiesça. En soupirant, Eiji se leva, nu et trempé, et alla fermer la porte à clef.

 

_ « Rassuré ? »

 

A nouveau, Enzo acquiesça. Eiji fit demi-tour et revint se positionner devant l'adulte. Enzo était toujours debout et Eiji, comme avant, souffla sur le sexe de son partenaire. Mais, à la différence de la fois précédente, le sexe du moniteur se durcit et Eiji s'amuser alors à souffler sur le gland.

 

_ « Et ben... Juste en fermant une porte... » se moqua gentiment le japonais.

 

_ « Tais-toi... » gémit Enzo.

 

Les mains de Eiji taquinèrent les testicules, alors que sa bouche s'ouvrit pour laisser passer sa langue qui taquina le gland rosé de l'éducateur, qui gémit.

 

_ « Ei... Eiji... »

 

Le japonais savait exactement ce que voulait son aîné, mais n'était pas pressé de le satisfaire. Il fit le tour du membre de sa langue, sa main droite taquinant toujours les testicules tandis que l'autre caressait la raie des fesses. Enzo gémissait de plus en plus fort et le suppliait de le prendre entièrement en bouche, mais Eiji s'y refusait, du moins pour le moment. Il aimait faire ''souffrir'' ses partenaires et il adorait les ''déguster'' avant de les sucer ou de les prendre.

 

Au bout de dix minutes de ''torture'', Eiji décida de prendre le sexe de son aîné en bouche, tout en entrant un de ses doigts dans son anus, doigt que Enzo ne sentit même pas. Un deuxième puis un troisième s'ajoutèrent. L'éducateur gémit de douleur et Eiji accéléra la cadence sur son sexe pour lui faire oublier la douleur.

 

_ « Eiji... Je... Je vais... »

 

Ce dernier comprit immédiatement et retira sa bouche. Enzo gémit de frustration et Eiji sourit.

 

_ « Viens... » fit-il en reculant jusqu'à l'autre extrémité du bassin.

 

Enzo le rejoigint immédiatement, frustré. Lorsque ce dernier arriva assez près de lui, Eiji le tira pour le coller contre son torse.

 

_ « Assieds-toi sur moi... En moi... » lâcha-t-il, sensuellement.

 

Excité à mort (NdA : lol), Enzo se redressa puis s'assied doucement sur Eiji, faisant ainsi pénétrer son sexe à l'intérieur de lui, l'eau agissant comme du lubrifiant sur le sexe du japonais. Malgré l'eau, Enzo ne pu retenir un rictus de douleur et Eiji descendit sensuellement sa main du torse du moniteur jusqu'à son sexe, lui faisant quelque peu oublier la douleur. Au bout de quelques minutes, Enzo fit des va-et-vient, les faisant gémir tous les deux. La main de Eiji masturbait Enzo au rythme de leurs va-et-vient et ce dernier ne tarda pas à éjaculer. Eiji le suivit quelques secondes plus tard, l'anneau de chair qui s'était resserré autour de son membre l'emmenant à la jouissance.

 

Essoufflé, Enzo tomba sut Eiji, mais ne s'enleva pas pour autant, gardant le japonais en lui.

 

_ « Déjà essoufflé Enzo ? » sourit Eiji.

 

_ « Je... voudrais bien... t'y voir...toi... » haleta Enzo, « Tu... n'avais... pas besoin... de bouger... »

 

_ « Je le reconnais. Que dirais-tu si on inversait les positions ? Je suis celui qui fait tout le boulot et toi tu ne bouges pas. » demanda Eiji, con sexe durcissant à nouveau à l'intérieur d'Enzo.

 

Ce dernier ne répondit pas, mais descendit des genoux de son amant – sans pour autant retirer le sexe du japonais de l'intérieur de son corps – ce qui obligea le châtain à le suivre.

 

Enzo était à présent debout, dos à Eiji, les deux mains sur le rebord du jacuzzi et les fesses arquées en arrière. A cette vison, Eiji banda encore plus et commença ses coups de butoir, d'abord doucement puis, lorsqu'il vit que Enzo gémissait de plus en plus fort, il accéléra la cadence, le masturbant en rythme. Ils jouirent rapidement et Eiji se retira de son amant.

 

_ « C'est repartit ? » demanda Eiji, lorsqu'il eu reprit son souffle.

 

_ « Tu... n'es... jamais rassasié ? » demanda Enzo qui, lui, avait du mal à reprendre son souffle.

 

_ « Jamais... » murmura Eiji à l'oreille d'Enzo, sensuellement.

 

A suivre...

Par music67love - Publié dans : Pédopsychiatre - Communauté : Les Archanges de Sade
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Samedi 16 février 6 16 /02 /Fév 19:58
Voici la suite XD, j'espère qu'elle vous plaira!!



_ « Parce que... Parce que je... »


Eiji ne put finit sa phrase, un sanglot le traversa et il ne put le retenir.

  

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 _ « Parce que tu quoi Eiji ? » demanda plus doucement la directrice.

 _ « C'est... C'est de ma faute. Ça... Ce ''truc'' m'a reprit et... »

 _ « Tu en as parlé au pédopsychiatre ? »

 _ « Euh... non. » avoua Eiji, la tête basse.

 _ « Eiji ! Ce n'est pas pour rien que l'orphelinat te payes ces séances avec un pédopsy ! »

 

_ « Je sais c'est juste que... »

 

_ « Que... ? » le pressa la directrice.

 

_ « J'arrive pas à en parler. »

 

_ « Eiji... » fit la directrice, en se levant pour prendre celui-ci dans ses bras. « Ce ''truc'' comme tu l'appelles te bouffe la vie ! Et ce n'est pas en ne faisant rien que tu y changeras quelque chose. En parler à quelqu'un qui ne te jugera pas, c'est ça qui te guérira. Je sais ce que tu as vécut avant d'arriver ici et je n'ose même pas imaginer ce qui se serait passé si je ne t'avais pas prit à l'orphelinat, mais tu ne peux pas te permettre de continuer comme ça ! »

 

_ « Je sais Marie. » répondit simplement l'adolescent en refermant sa prise autour de la femme.

 

Certes, il était plus grand qu'elle, mais ça n'empêchait pas qu'il se sentait tout petit à ce moment précis.

 

_ « Est-ce que... Est-ce que Enzo est toujours renvoyé ? » hésita à demander Eiji en se dégageant de l'étreinte maternelle de Marie.

 

Les sourcils de la directrice se froncèrent à cette demande et c'est avec une voix redevenue glaciale qu'elle répondit :

 

_ « Il n'avait pas à faire ce qu'il a fait. »

 

_ « Tu crois qu'il m'a obligé ? »

 

_ « Je... Ecoute Eiji, qu'il t'ai obligé ou non ne change rien il... »

 

_ « Mais ça change tout au contraire ! Si je suis consentant, bah vous n'avez pas besoin de le renvoyer ! »

 

_ « Il a accepté ! »

 

_ « Je l'ai forcé ! »

 

_ « Ce n'est pas ce que j'ai vu ! »

 

_ « Mais c'est normal qu'il bandait ! Si on vous faisait un cunni vous réagiriez aussi ! »

 

_ « Eiji ! Ne parle pas comme ça ! »

 

_ « Je parle comme je vous ! » cria Eiji, « Vous n'êtes pas ma mère ! Parfois, je préférerais ne jamais vous avoir rencontré ! »

 

Le japonais se rendit compte qu'il était allé trop loin. Le visage de sa directrice s'était décomposé et elle semblait sur le point de fondre en larmes.

 

_ « Je... Je suis désolé. » s'excusa Eiji

 

_ « Sors. »

 

_ « Mais... »

 

_ « Sors je te dit. Je garderai Enzo mais sors de là tout de suite ! »

 

C'est penaud que Eiji prit la porte de sortie. Il se demanda vaguement où était Enzo, puis il se rappela que, comme ce dernier croyait être renvoyé, il devait certainement faire ses valises. Ce fut mollement qu'il monta les escaliers et arriva dans la chambre de l'aîné.

 

_ « Qu'est-ce que tu fais ? » demanda le japonais en s'affalant sur le lit, à côté de la valise à moitié pleine du moniteur.

 

_ « Ma valise. J'suis renvoyé tu te souviens ? »

 

_ « Plus maintenant. »

 

_ « Quoi plus maintenant ? »

 

_ « J'ai ''plaidé'' ta cause auprès de la directrice. Tu restes. »

 

Enzo en fut tellement surpris qu'il en lâcha le string léopard (dsl, j'ai pas put résister XD) qu'il avait dans les mains.

 

_ « Tu as quoi ? »

 

_ « J'ai plaidé ta cause. Je l'ai fait chialer mais bon. »

 

_ « Eiji je... je sais pas comment te remercier. » dit l'éducateur qui avait presque les larmes aux yeux.

 

_ « Tu me rejoins au jacuzzi ce soir à minuit. » fit Eiji, une lueur de désir dans le regard.

 

_ « Mais c'est fermé à clef ! »

 

_ « J'ai un double. Toque trois fois à la porte et je t'ouvrirais. »

 

_ « Heu... Mais si on se fait attraper ? » s'inquiéta Enzo.

 

_ « Y a pas de risque. Personne des dortoirs ne viendra si je leur interdis. Quand aux éducs, ils respectent bien trop le règlement pour ça. »

 

Voyons que Enzo allait riposter, le châtain ajouta :

 

_ « Je l'ai déjà fait. Ne t'inquiète pas Enzo, il n'y a aucuns danger. »

 

_ « Si tu le dis. » fit simplement le plus âgé en haussant les épaules.

 

_ « Je le dis. » répondit Eiji avant de sortir de la chambre en envoyant un baiser du bout des doigts au moniteur.

 

A suivre...

 

Par music67love - Publié dans : Pédopsychiatre - Communauté : Les Archanges de Sade
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Samedi 16 février 6 16 /02 /Fév 14:52
Je viens de remarquer que j'avais déjà écrit cette suite mais que je ne l'avais pas publiée SM028.gif


enfin, voici la suite:



Eiji releva la tête en entendant des pas.

_ « Ça ira Eiji. » dit Enzo avant même que le châtain n'ouvre la bouche.

L'asiatique hocha la tête pour acquiescer. Il s'en voudrait à mort si l'éducateur se faisait renvoyer!

_ « Bonne chance. » souffla quand même le japonais.

Enzo lui fit un sourire rassurant et pénétra dans le bureau de la directrice, en refermant la porte derrière lui.

Une bonne demi-heure passa où Eiji se trituraient les mains sous l'effet du stress, lorsqu'enfin la porte s'ouvrit, laissant passer un Enzo à la mine de déterré.

_ « Enzo? Ça c'est mal passé? » demanda Eiji en se levant précipitamment de sa chaise pour aller à l'encontre du moniteur.

_ « Je suis renvoyé. » dit celui-ci d'une voix blanche.

_ « Quoi? » s'exclama l'asiatique

_ « La directrice m'a renvoyé. » répéta Enzo

_ « Non! » cria Eiji, son coeur se serra.

Il se rua dans le bureau de la directrice pendant que Enzo s'affala sur une chaise.

_ « Vous n'avez pas le droit! » tempéra Eiji en ouvrant la porte du bureau de la directrice à la volée.

_ « Pourquoi pas? » demanda celle-ci, assise à son bureau, calme. « Il y a eu détournement de mineur. Il a de la chance que je n'ai pas porté plainte. »

_ « Vous n'êtes pas ma mère! » cria Eiji, « Vous n'avez pas le droit de le renvoyer! »

_ « Pourquoi pas? » demanda à nouveau la directrice.

_ « Parce que... Parce que je... »

Eiji ne put finit sa phrase, un sanglot le traversa et il ne put le retenir.

A suivre...
Par music67love - Publié dans : Pédopsychiatre - Communauté : Les Archanges de Sade
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Samedi 22 décembre 6 22 /12 /Déc 10:01

Mais Enzo n'eut pas le temps de finir sa phrase que la porte s'ouvrit en grand, laissant apparaître la directrice, qui prit un air complètement abasourdit, la bouche ouverte pendant de sa mâchoire, comme prête à se fracasser sur le sol.

 

♂♂♂♂♂

 


_ « Ma... madame la directrice? » bégaya le moniteur, son érection retombant immédiatement.



Eiji enleva sa bouche du sexe maintenant mou et se releva, le rouge aux joues. La directrice était une des seules personnes avec qui il était gêné. D'habitude, il s'en foutait de ce que pensait les autres, mais elle... Elle était comme sa mère! Enfin non, elle était plus que sa mère, celle-ci l'ayant abandonner à l'âge de cinq ans.



_ « Je... » tenta de dire Eiji, pendant que Enzo recouvrait son sexe avec un drap, son pantalon ayant attérit à l'autre bout de la pièce.



_ « Je ne veux rien savoir! » hurla la directrice. « Enzo, je vous veux dans mon bureau dans dix minutes. Quand à toi Eiji... Tu attendras dans la salle d'attente que j'en ai finit avec Mr Slaver. »



Et elle repartit en claquant la porte.



_ « Je... Je suis désolé. » dit Eiji pour briser le silence.



_ « Tout n'est pas de ta faute. C'est moi qui ai accepté. »



_ « Oui mais je t'ai quasiment forcé! » lui répondit Eiji, vraiment honteux.


_ « Ce n'est rien, ne t'inquiète pas. » assura Enzo en se levant pour chercher son boxer et son pantalon qu'il remit rapidement.


_ « Non ce n'est pas rien! Tu vas peut-être être renvoyé par ma faute! » cria Eiji


_ « Calme-toi! Ça ne sert à rien de s'énerver! » dit Enzo, calmement.


_ « Je suis désolé. » dit à nouveau Eiji en quittant précipitemment la pièce, pour ne pas montrer que les larmes menaçaient de couler.


Beaucoup traitait Eiji de ''sans coeur'', ce qui était totalement faux. Il éprouvait des sentiments, comme tout le monde, mais il avait tellement bien apprit à les cacher que les autres ne le voyait pas. Il avait été un enfant de la rue avant d'attérir à l'orphelinat à ses quatorze ans. Neuf ans dans la rue! Dans ce milieu, il ne fallait pas montrer qu'on avait peur ou c'était le passage à tabac assuré! Et aujourd'hui encore, ses sentiments, il les gardaient pour lui.


Eiji réfléchissait à son enfance, lorsqu'il vit qu'il était arrivé dans la salle d'attente du bureau de la directrice. Il s'assit, tout en se demandant ce qu'allait lui dire Marie. Ça n'aurait pas dut se passer comme ça! Elle n'aurait pas dut les découvrir! Si seulement il n'avait pas embrassé ce putain de psychiatre!


A suivre...

 

Par music67love - Publié dans : Pédopsychiatre - Communauté : Les Archanges de Sade
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Jeudi 29 novembre 4 29 /11 /Nov 19:27

Eiji ouvrit brusquement la porte de l'orphelinat et se dirigea vers les dortoirs sans même jeter un seul coup d'oeil à la secrétaire. Lorsqu'il arriva devant la porte 206, il l'ouvrit en grand, sans se donner la peine de frapper.

 

_ « Eiji! Putain tu m'as fait peur! » s'exclama le garçon qui se trouvait dans la chambre.

 

Katsuhiko, surnomé Katsu, était lui aussi d'origine asiatique. 17 ans lui aussi, les yeux bruns clairs, mesurant dans les 1m85 et les cheveux violets lui arrivant jusque dans le dos, Kastuhiko était, avec Eiji, l'un des plus beau mec de l'orphelinat.

 

_ « J'ai besoin de baiser. » répondit Eiji, essouflé d'avoir monter les escalier si vite.

 

_ « Désolé mon pote, tu tombes mal. Depuis hier je suis officiellement avec Ethan. »

 

_ « Serait-il un meilleur coup que moi? »

 

_ « Non. Mais mais c'est mon petit-ami. »

 

_ « Ca ne t'as pas empêché de coucher avec moi y a une semaine. »

_ « Je ne sortais pas encore officiellement avec lui il y a une semaine. »

 

_ « Et qu'est-ce qui t'empêche de coucher avec moi? Ethan n'en saura rien. »

 

_ « Je suis fidèle moi. Je ne coucherai pas avec toi Eiji! »

 

_ « Je couche avec qui moi si tu ne veux plus qu'on baise ensemble? » se lamenta Eiji en tombant sur le lit à côté de son ami.

 

_ « Essaye Yanis. Il paraît que c'est un super coup. »

 

_ « J'ai déjà couché avec lui. »

 

_ « Alors? » demanda Katsuhiko, criant presque.

 

_ « Alors quoi? » demanda le châtain en regardant son ami, totalement perdu.

 

_ « Bah comment c'était? »

 

_ « Pas mal. Mais il y a mieux. »

 

_ « Et tu es dans les mieux j'imagine? » demanda le jeune homme aux cheveux violets, un sourire moqueur accroché aux lèvres.

 

_ « Bien sûr. » lui répondit son ami, un air suffisant sur le visage.

 

Katsu ne put s'empêcher de rire et Eiji le suivit rapidement. Il leur fallut un moment avant de réussir à s'arrêter.

 

_ « Sérieusement. Je fais quoi? »

 

_ « Essaye avec ta main droite. » lui répondit son ami en se levant pour aller prendre sa veste.

 

_ « C'est ça ouais... Tu sors? »

 

_ « J'ai rendez-vous avec Ethan. »

 

_ « C'est le grand amour on dirait. » se moqua Eiji

 

_ « Peut-être bien. » lui répondit son ami en le poussant presque pour qu'il sorte de la chambre.

 

_ « Fous moi dehors pendant que t'y es. »

 

_ « Mais c'est ce que je compte faire Eiji-chan. » rétorqua Katsu en fermant derrière lui.

 

Il dévala les escaliers si vite qu'on aurait put croire qu'il volait.

 

_ « Bon, c'est pas tout mais j'ai toujours pas trouvé quelqu'un avec qui baiser. »

 

Finalement, Eiji partit en direction des dortoirs de droite, ceux des éducateurs. Il chercha un moment la porte 12 et il finit par la trouver tout au fond d'un couloir. Comme à son habitude, Eiji entra sans frapper.

 

_ « Eiji? » demanda l'éducateur, visiblement étonné, « Que fais-tu là? »

 

_ « J'ai envie de baiser. » murmura sensuellement le japonais en refermant la porte derrière lui et en s'approchant d'une démarche de félin vers sa proie.

 

_ « Ah oui? Et... pourquoi m'as-tu choisit moi? » demanda à nouveau l'éducteur en déglutissant difficilement face à l'air prédateur de son cadet.

 

_ « Tu es le seul de potable dans cet orphelinat. » lui répondit le châtain en ''forçant'' l'éducteur à se coucher sur le lit.

 

Le moniteur ne répondit pas, sa bouche étant à présent posée sur celle de Eiji. Celui-ci força doucement le barrage des lèvres de son aîné, glissant sa langue dans la gorge de l'homme, entamant un véritable ballet, pendant que ses mains s'activaient sous la chemise de l'éducateur, lui frôlant les tétons, les pinçant parfois jusqu'à ce qu'ils durcissent. Puis Eiji libéra sa bouche de sa jumelle et la descendit le long de la gorge de l'homme qui poussait déjà des gémissement plus ou moins prononcés, selon où la langue d'Eiji était. Les mains du châtain défirent la chemise de son aîné et sa langue s'attarda elle aussi sur un téton. Puis la langue descendit de plus en plus bas, traçant un sillon mouillé le long du torse de son moniteur, jusqu'à arriver au pantalon.

 

_ « Déjà exité Enzo? » murmura sensuellement Eiji en touchant la bosse déjà formée dans le pantalon dudit Enzo

 

Pour toute réponse, Enzo poussa un gémissement rauque. L'asiatique sourit tout en déboutonant le bouton et fit descendre la braguette du pantalon avec ses dents. Puis ses mains se posèrent de chaque côtés du ventre d'Enzo et descendirent lentement juqu'au pantalon de ce dernier, lui arrachant des frissons.

 

_ « Eiji... » soupira de plaisir le moniteur

 

Bientôt, le pantalon valsa dans la pièce, rapidement suivit par le boxer. Eiji regarda avec délectation le pénis dressé tant convoité. Le châtain se baissa légèrement et souffla sur le gland rosé, arrachant un gémissement de la part d'Enzo. Eiji sourit et embrassa chacune des testicules.

 

_ « Eiji... »

 

Une main remplaca la bouche et celle-ci se posa doucement sur le membre tendu. Eiji en fit le tour de sa langue, sans jamais le sucer totalement. Quand il sentit que son amant commençait à perdre patience, il le prit entièrement en bouche. Enzo cria de plaisir à ce contact et le japonais fut heureux de voir que l'aîné appréciait. Il suça le sexe de son amant de plus en plus profondément et bientôt sa main se posa sur la base du sexe d'Enzo, qui bougeait à présent des hanches pour faire pénétrer son sexe encore plus profondément dans la gorge d'Eiji.

 

_ « Eiji... je... je vais... »

 

Mais Enzo n'eut pas le temps de finir sa phrase que la porte s'ouvrit en grand, laissant apparaître la directrice, qui prit un air complétement abasourdit, la bouche ouverte pendant de sa machoire, comme prête à se fracasser sur le sol.

 

 

A suivre...

 

 

 

 

Par music67love - Publié dans : Pédopsychiatre - Communauté : Les Archanges de Sade
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Vendredi 23 novembre 5 23 /11 /Nov 20:02
_ « QUOI? »

 

 

_ « Tu m'as bien entendu Eiji. Tu iras voir un pédopsychiatre. Ce que tu as fait est inadmissible. » lui répondit calmement la directrice de l'orphelinat.

 

Brune aux yeux bruns, dans les cinquante ans, la directrice de l'institution St Pierre était la créatrice de l'orphelinat. Elle voulait à tous prix aider ces jeunes qui avait été abandonnés à la naissance. Toujours à l'écoute des orphelins et très gentille, tout le monde l'adorait. Mais il ne fallait pas croire qu'elle se laissait marcher sur les pieds, non, elle savait être dur quand il le fallait. Comme en ce moment avec Eiji.

 

_ « J'veux pas aller raconter ma vie à un mec qui n'en a rien à foutre! J'ai pas envie qu'il foute son nez dans ce qui le regarde pas! »

 

_ « Eiji... »

 

_ « Mais vous comprenez pas que je veux pas que tout le monde le sache! Il... ce que j'ai fait personne ne doit le savoir! » s'écria-t-il en se levant du siège où il était auparavant installé et en se retournant vers la fenêtre.

 

_ « Ca ne peut plus durer! Je ne veux que ton bien, tu le sais non? » demanda la directrice d'une voix douce en s'approchant du jeune homme.

 

_ « Je sais Marie, mais je ne peux pas m'en empêcher. »

 

_ « C'est pour ça que je te demande d'en parler à quelqu'un. Ca te feras du bien n'en parler à quelqu'un qui ne te jugeras pas. Si tu ne le fais pas pour toi, fais le pour moi »

 

Eiji soupira. Il aimait beaucoup Marie et il ferait vraiment tout pour lui faire plaisir. Après tout, elle avait été la première à le receuillir et à croire en lui alors que tout le monde pensait qu'il n'était qu'un voyou sans intêret.

 

_ « Très bien, j'irai. »

 

_ « Super! Tu verras, le docteur Roy est vraiment compétent, il s'occupera bien de toi. »

 

_ « Si tu le dis. » marmonna Eiji

 

 

♂ ♂ ♂ ♂ ♂ ♂

 

 

C'est donc pourquoi il se retrouva quelques jours plus tard, dans cette salle d'attente au milieu d'une gamine de 8 ans de minettes de son âge qui le regardaient en bavant légèrement. Eiji soupira et regarda sa montre. Il avait rendez-vous à 15h30 et il était 15h20. Encore dix minutes à attendre. L'asiatique se saisit alors d'un magazine qui traînait sur la table et le feuilletta.

 

_ « Au suivant! » dit le psychiatre en entrant dans la salle d'attente.

 

Eiji se leva, passa devant le psy s'en même lui accorder un regard et se dirigea directement dans le bureau où il s'assit sur une chaise d'aspect confortable.

 

_ « Je vois que tu t'es déjà installé. » dit Andrew à son patient, en prenant place à son tour derrière le bureau. Il fouilla quelques instants dans un de ses tiroirs et en sortit une pochette cartonnée.

 

_ « Alors tu es... Eiji Reburan, c'est bien ça? »

 

Le garçon ne répondit pas et se contenta de le regarder. Il voulait en faire le moins possible. Déjà qu'il était obligé de se coltiner ce fichu pédopsychiatre – très sexy soit dit en passant – une fois par semaine alors qu'il pourrait faire autre chose, il n'allait quand même pas se fouler!

 

_ « Tu as 17 ans et c'est l'orphelinat de St Pierre qui t'as envoyé chez moi, c'est bien ça? »

 

Eiji ne répondit toujours pas et le regarda avec une profonde indifférence. Quand allait-il enfin pouvoir partir?

 

_ « Aurais-tu perdu ta langue? »

 

L'adolescent regarda son psychiatre bizarrement. Bien sûr que non il n'avait pas perdu sa langue! Et il savait même très bien s'en servir, il n'y avait qu'à demander à ses nombreux ex.

 

_ « Bien. » soupira le psy, « Couche-toi sur le canapé s'il te plaît. A moins que tu ne préférerais rester là? »

 

Toujours sans un mot, Eiji se leva et alla se coucher sur le canapé rouge. Quitte à se faire chier, autant être à son aise. Et il se trouvait que les canapés et les lits étaient ce sur quoi il était le plus à son aise...

 

_ « Alors. » dit le psy, « De quoi voudrais-tu me parler? »

 

L'asiatique ne répondit pas et se contenta de regarder autour de lui. Ses yeux s'attardèrent sur le bureau où il fut surpris de ne trouve aucunes photos de familles.

 

_ « Qu'est-ce que tu fais en cours? »

 

''Nan mais quelles questions stupides,'' pensa l'adolescent. ''J'en ai rien à branler des cours, pourquoi est-ce qu'il se ramène avec ça l'autre? Il n'a qu'à me demander comment était mon dernier coup, et là peut-être que je lui répondrais. ''

 

_ « Pourquoi est-ce que tu ne réponds à aucunes de mes questions? » demanda le psychiatre une demi-heure plus tard, légèrement énervé.

 

Bien sûr, Eiji ne lui répondit pas.

 

_ « Tu peux partir. » dit alors Andrew, en se levant pour le raccompagner à la porte.

 

Eiji vit le médecin lui ouvrire la porte, sûrement pour le laisser passer. Mais l'adolescent décida qu'il ne voulait pas en rester là. Son psy était vraiment sexy et le voir parler de sa voix si sensuelle lui avait donné des envies. Eiji s'approcha d'Andrew et, sans crier gare, posa ses lèvres sur celles de son aîné. Andrew ne fit rien, surpris. Eiji en profita pour se rapprocher et passer ses bras autours des épaules du médecin. Puis il mordilla légèrement la lèvre inférieur d'Andrew, quémandant l'entrée de sa langue dans l'antre chaud de son aîné. Andrew ouvrit la bouche et Eiji remarqua avec plaisir que son médecin se laisser totalement guider dans ce baiser. Les mains dudit médecin se placèrent de chaque côtés des hanches du châtain et il le tira légèrement à lui jusqu'à ce que leurs torses soient collés.

 

Ils mirent fin au baiser à contre-coeur, le souffle leur manquant.

 

_ « Tu vois, j'ai toujours ma langue. » murmura Eiji en mordillant le lobe de son aîné.

 

Finalement, l'asiatique se détacha de l'emprise de l'américan et sortit sans un mot de plus.

 

 

♂ ♂ ♂ ♂ ♂ ♂

 

 

Lorsque Eiji sortit du cabinet, le souffle lui manquait. Le psy se débrouillait vraiment pas mal avec sa langue! Mais maintenant, Eiji avait envie de baiser. Il n'avait pas l'habitude de s'arrêter après un simple baiser et il ne s'avait pas pourquoi il l'avait stoppé, surtout qu'il était sûr que son psychiatre était plus que d'accord pour une suite! Le châtain ressera son écharpe autour de son cou et repartit à l'orphelinat, qui était à moins de dix minutes à pieds du cabinet.

 

 

A suivre...

 

Par music67love - Publié dans : Pédopsychiatre - Communauté : Les Archanges de Sade
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Lundi 12 novembre 1 12 /11 /Nov 19:33
_ « Au suivant! » dit le psychiatre en entrant dans la salle d'attente.


28 ans, 1m80, les cheveux bruns attachés en catogan et des yeux bleus clairs, le pédopsychiatre avait un charme certain. Beaucoup de patientes étaient d'ailleurs tombées sous son charme et avaient continuées d'avoir des ''problème émotionnels'' rien que pour voir le beau médecin. Il faut aussi dire que l'accent américan du docteur le rendait encore plus sexy.


Sur la facade du bâtiment, on pouvait voir une plaque dorée avec comme inscription:


Dr. Andrew Roy
Diplomé en pédopsychiatrie
Spécialité des cas difficiles
Consultations sur rendez-vous
01.. .. .. ..

En seulement deux ans, il avait acquis une excellente réputation. Reconnus par ses confrères plus âgés et par de nombreux médecins, il devait avoué que sa vie professionnel se passait merveilleusement bien, même si ce n'était pas le cas de sa vie amoureuse. En effet, les études ne lui avait pas laissé le temps d'avoir un relation sérieuse et le peu de relations qu'il avait s'était assez vite terminée. ''Et puis,'' se disait-il, ''j'ai encore le temps. Pour le moment, c'est ma vie professionnel qui est la plus importante.''


Un jeune homme d'environ 17 ans se leva et passa devant le psy s'en même lui accorder un regard. Andrew en fut surpris, d'habitude ses clients lui serraient la main ou lui disait au moins bonjour, mais là rien. Il haussa les épaules et suivit son patient jusqu'à son bureau, où celui-ci était déjà installé sur une chaise.


Ledit bureau était assez grand. Les murs étaient de couleur crème et le sol recouvert de moquette verte très clair. Un immense bureau en chène était posté près de la fenêtre et deux fauteuils d'aspect confortable étaient installés devant. De nombreux ouvrages recouvraient les étagères de tout le mur gauche et un canapé pour les patients reposait dans le coin gauche, près d'une autre fenêtre. Chaques fenêtres étaient équipés de rideaux électrique que Andrew pouvait fermé à sa guise.


_ « Je vois que tu t'es déjà installé. » dit Andrew à son patient, en prenant place à son tour derrière le bureau. Il fouilla quelques instants dans un de ses tiroirs et en sortit une pochette cartonnée.


_ « Alors tu es... Eiji Reburan, c'est bien ça? »


Le garçon ne répondit pas et se contenta de le regarder.


_ « Tu as 17 ans et c'est l'orphelinat de St Pierre* qui t'as envoyé chez moi, c'est bien ça? »


Le garçon ne répondit toujours pas et Andrew commença légèrement à s'énerver. Il avait l'habitude des patients difficiles, mais aucuns ne le regardait avec cet air de profond indifférence.


_ « Aurais-tu perdu ta langue? »


Eiji ne répondit toujours pas.


_ « Bien. » soupira le psy, « Couche-toi sur le canapé s'il te plaît. A moins que tu ne préférerais rester là? »


Toujours sans un mot, Eiji se leva et alla se coucher sur le canapé rouge. Andrew l'observa à la dérobée en faisant mine de chercher son stylo. Sûrement d'origine asiatique, Eiji avait des cheveux châtains court et des yeux bruns foncés. Il portait un T-shirt bleu qui lui arrivait au-dessus du nombril et un long pantalon noir moulant. Andrew fut submergé par le charisme qui se dégageait de ce jeune homme, mais il se ressaisit bien vite et alla s'asseoir sur la chaise installée à côté du canapé.


_ « Alors. » dit-il, « De quoi voudrais-tu me parler? »


Aucunes réponses.


_ « Qu'est-ce que tu fais en cours? »


Eiji ne répondit toujours pas.


_ « Pourquoi est-ce que tu ne réponds à aucunes de mes questions? » demanda Andrew, une demi-heure plus tard, légèrement énervé. Il avait beau lui poser toutes sortes de questions, le jeune homme ne répondait pas et se contentait de regarder le plafond, d'un air absent.


Bien sûr, Eiji ne lui répondit pas et le médecin commença à se demander si son patient n'était pas muet. Pourtant, il était écrit nul par qu'il ne pouvait pas parler.


_ « Tu peux partir. » dit alors Andrew, en se levant pour le raccompagner à la porte.


Andrew lui ouvrit la porte et attendit qu'il passe pour en faire de même, mais son client avait apparemment décidé de faire autrement. Eiji s'approcha d'Andrew et, sans crier gare, posa ses lèvres sur celles de son aîné. Andrew ne fit rien, surpris. Eiji en profita pour se rapprocher et passer ses bras autours des épaules du médecin. Puis il mordilla légèrement la lèvre inférieur d'Andrew, quémandant l'entrée de sa langue dans l'antre chaud de son aîné. Andrew ouvrit la bouche, se laissant totalement guider dans ce baiser. Ses mains se placèrent de chaque côtés des hanches du châtain et il le tira légèrement à lui jusqu'à ce que leurs torses soient collés.


Ils mirent fin au baiser à contre-coeur, le souffle leur manquant.


_ « Tu vois, j'ai toujours ma langue. » murmura Eiji en mordillant le lobe de son aîné.


Finalement, l'asiatique se détacha de l'emprise de l'américan et sortit sans un mot de plus. Andrew le regarda partir, songeur. Il allait cherchait son prochain patient, lorsqu'il vit que quelque chose s'était réveiller.


_ « Et merde! Je bande! » s'exclama le psy.


A suivre...


*: Nom inventé, donc s'il existe ce n'est pas fait exprès
.

Par music67love - Publié dans : Pédopsychiatre - Communauté : Les Archanges de Sade
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